Marino Neri signe là un polar d’une noirceur sans appel, chronique d’une époque où règnent la violence et l’argent, et où certains d’entre nous sont condamnés par avance.
Un jeune immigrant est assassiné dans un bâtiment abandonné. Ses assassins ? Une bande de gentils garçons qui défoulent leur
frustration existentielle sur le « bouc émissaire », le coupable absolu et parfaitement désigné : il est noir, il est seul, peut-être aussi qu’il
deale ou qu’il vole. Un parasite dont on se débarrasse facilement.