Sur fond de football et de cinéma, une belle histoire de résistance dans le Brésil des années 1950
São Paulo, Brésil, 1950. Les préparatifs de la Coupe du monde de football battent leur plein, la première depuis la guerre. Vera et Luiz vivent des jours paisibles avec leur père Jorge, cheminot. Le jeune Luiz partage son temps entre l’école, le foot, le cinéma dont il raffole, et son ami Mario, un jeune boulanger émigré d’Italie au Brésil, comme bien d’autres depuis la fin de la guerre et la libération de l’Italie fasciste.
Mais un terrible accident vient bouleverser leurs vies : Jorge, le père, est renversé et tué par le déraillement d’un train. L’enquête révèle qu’un défaut d’entretien des rails est à l’origine de l’accident. En signe de protestation, les cheminots décident de cesser le travail, mais la société qui les emploie envoie des briseurs de grève réprimer violemment ce mouvement de contestation. De leur côté, les enfants de Jorge subissent intimidation et menaces…
Une histoire simple et belle de résistance et de lutte, du pauvre contre le riche, du faible contre le puissant.
Andrea Campanella a réalisé là un scénario généreux et sensible, que la ligne claire d’Anthony Mazza sert à merveille. Un bel hommage aux films néoréalistes de l’époque…
Dans la presse
“Les Intrépides (…) fait partie des belles découvertes de cette année 2020…”
L’Ambidextre
“Une chronique sociale pleine d’humanité et graphiquement très réussie qui se déroule dans le Brésil de 1950.”
avoir-alire.com